Pierrot

La raison est définie comme la faculté par laquelle l’homme connaît et juge, on dit aussi que la raison c’est du bon sens, ce qui est juste.

Cette définition résume les règles qui régissent notre société. La société dans laquelle nous vivons est une société axée sur le bon sens, sur ce qui est juste. Il ne s’agit pas d’un choix personnel, mais d’un choix que la société nous impose, car celle-ci considère, de part son histoire que c’est la meilleure chose à faire.
Finalement, nous pouvons considérer la raison comme l’élément qui règne le monde, de manière implicite, elle frappe à nos cerveaux, et s’y immisce, de façon à nous « raisonner ».

Difficile d’y échapper donc, voire impossible. Mais quel plus grand malheur que de n’être frappé par cette raison ? Celle qui nous fait parfois fuir une situation, fuir une action.

La raison juge, le cœur vit.

Laissons vivre.

Un musicien est un magicien, car il mélange les notes, pour en faire une mélodie, qui vous étonne, vous repose, vous fascine.
J’en ai rêvé, j’en rêve encore, et j’en rêverai, que la musique apparaisse comme un dialogue. Assimiler un propos à une musique, tel est mon rêve. Que la musique opère comme un tour de magie. Que la simple suggestion d’une musique vous emmène dans un endroit inoccupé, où le rêve supplée la réalité.

Comment en ouvrant ce propos ne pas s’inquiéter de la considération apportée à l’heure actuelle à la musique ? Comment croire qu’un détonateur, qu’un procurateur d’émotions puisse être gratuit ?
Comment accepter qu’un bien si précieux puisse être mis de côté au profit de biens qui n’en procurent aucune ?

Musicien Magicien,

Un contre sens, ça ressemble à un croche-pied, vous vous dites, c’est bon, je vais passer, et vous tombez. L’être humain se sent finalement toujours recouvert de cette peau qu’on nomme « L’indestructibilité ».  Sachez, et vous savez que « L’indestructibilité » n’existe pas.

Ce post recouvre l’idée que nous ne sommes pas indestructibles, et que chaque moment passé vous invite à vous livrer, à vous livrer de manière absolue, à vous livrer à la vie.
Notre société, notre éduction peut parfois bafouer ce que j’appellerai « La liberté » de nos actions. Combien de personnes se sont déjà déjà imaginés incapables de réaliser telle ou telle chose, de la plus banale à la plus compliquée ?

Nous ne sommes pas indestructibles, certes, nous sommes compliqués, certes, mais l’essentiel est que nous ne serons jamais capables de prévoir le résultat d’une action.

Alors s’il vous plait, ne faites pas naitre des contre sens à vos vies, les seuls qui existent sont sur la route, et ils se nomment « Les sens interdits ».

Hello tertous,

J’avais juste envie de rappeler, par le biai de ce post, l’importance négligée que nous donnons à la lecture. Moi même regrette de n’apprécier que depuis peu les plaisirs qu’elle peut apporter.
A l’heure où la télévision nous stigmatise*, et où elle nous ennuie de plus en plus, que diriez vous si vous vous décidiez à commencer un livre ?

Allez, tous sur un livre !!

++

* le terme “stigmatiser” est tellement à la mode que je me permets de l’employer, même à mauvais escient.

Jorge Bucay est un écrivain argentin, avec une formation en psychiatrie et psychothérapie. Tout récemment, je me suis procuré un de ces livres: Laisse-moi te raconter les chemins de la vie.

Je voulais juste, par ce post, vous inviter à vous procurer ce bouquin. Pour résumer, il s’agit d’expériences de la vie, racontées en fables.

Un exemple, une fable à propos du besoin pour nous, êtres humains, du respect et de l’estime d’autrui pour construire notre propre estime.
La conclusion de la fable à ce sujet, elle s’adresse à toi, lecteur qui se sent concerné: “Tu es comme un bijou précieux, unique, en tant que tel, seul peut t’estimer un véritable expert. Pourquoi exiger du premier venu qu’il découvre ta vraie valeur ?”

A bon entendeur, un livre à lire…

Hello mes amis,

En direct de Montréal, j’me décide au bout de 3 mois à écrire un ptit post pour dire que ce pays est extra, que si tu n’y es pas allé, je t’invite à le faire.

Mais avant toute chose, je voulais dire que la confiance peut s’acquérir aussi facilement qu’elle peut se perdre.

Le principe c’est d’en gagner assez pour que, malgré les “défaites”, on en ait assez pour toujours avancer.

Merci

PS: depuis hier, je pense que je suis la réincaration de l’abbé Pierre …

PS2: c’est pas se vanter, mais bon, vous en pensez ce que vous voulez !

Jean Filiatrault a dit:

Sans confiance, est-ce que la vie est possible ?

Réflechissons y sérieusement …

J’ai mon idée la dessus…

Hey Ho !!

L’odeur de la nuit, cette bouffée d’air qui me donne envie de plonger doucement dans l’ivresse du bonheur de la vie…

Si tu ne comprends pas, c’est normal, moi même, je demande si on peut me comprendre …

De retour sur mes terres Blogiennes (qui vient du nom commun blog), je viens ici poster un nouveau message, un message de paix ! Non, je ne suis pas témoin de Jehovah, mais un être, je pense, normalement consitué, qui n’aime pas les conflits, sauf quand, vraiment, il s’agit d’un con ..

Le bonheur a été abordé à maintes reprises, un terme élogieux. On peut avoir dans sa vie des moments marquants, des choses simples, et je suis un partisan du “Le bonheur en revient souvent à des choses simples, très simples”.

Je pense que le bonheur, est un terme, qu’on associe trop facilement à l’argent. Ce cliché m’agace. Le bonheur se vit le plus souvent d’une manière beaucoup plus simple. Et l’argent n’y contribue pas forcément.

 Tout ça pour dire que le bonheur c’est plus important que l’argent, et que l’idée “le bonheur c’est l’argent, c’est complètement nul”.
Voila, des gens pas d’accord, allez y pour les critiques !

Sinon, il y a aussi l’amitié, et en amitié, je sais sur qui compter … (ils se reconnaitront)

En revenant dans le train ce soir, j’avais comme “voisine de couloir”*, une très jolie demoiselle, ce qui m’amène à parler de cet art extrême: celui de la séduction …

Pour commencer, je reprendrai une citation de Jules Barbey d’Aurevilly:
 ”La séduction suprême n’est pas d’exprimer ses sentiments. C’est de les faire soupçonner.”

Pour me rassurer, je pourrai dire que ce soir, sur une inconnue particulièrement mignonne, je pense lui avoir fait soupconner mes sentiments. Par ailleurs, je constate que je suis incapable de surpasser l’état de soupçon …Je ne doute pas de mon attitude soupçonneuse, et aurais plutôt tendance à dire qu’il s’agissait d’une attitude soupçonneuse lourde: un peu comme si vous aviez démasqué une star et que vous ne cessiez de la regarder, comme si vous attendiez quelque chose de sa part.

Petit descriptif de mon attitude soupçonneuse lourde:
  - Regards appuyés, marqués, prolongés
  - Mouvements disproportionnés sur son fauteuil (de manière à me faire repérer, à espérer croiser son regard)

Dans un moment d’ardeur, petit descriptif de ce que j’aurais aimé faire (mais j’emploie bien le conditionnel):
 - Sur le billet où apparait mon nom, le lui transmettre en ajoutant numéro de téléphone et adresse mail.

Petit descriptif de ce que j’ai fait:
 - Rien !

Tout ça pour dire qu’arrivé à Bethune, cette fille, a eu l’extrême amabilité de me faire un large sourire, snonyme de:
 - T’as eu l’air con avec tes attitudes soupçonneuses lourdes
 - Je veux avoir les mêmes attitudes soupçonneuses pour te faire comprendre que je suis intéressée (je me mets à sa place).

Je me suis levé et j’ai quitté mon fauteuil tel le prince de la séduction, et oui, puisque j’ai soupçonné …

Anecdote: je pense qu’elle était anglaise, mais une très jolie anglaise !
Anecdote2: quelques minutes avant l’arrivée sur Bethune, mon inconnu s’est mise à écrire dans son journal personnel …. Conclusion: Préférer l’action au soupçon … car, le soupçon reste un sentiment personnelle difficile à évaluer …